poème dramatique de Jean-Pierre Siméon
mis en scène et interprété par Sophie Hoarau
sous le regard de Camille Kerdellant
> résidence de mise en route à la Maison de la Poésie de Rennes
du 5 au 7 février 2019
Un plaidoyer sensible du verbe de la beauté
contre le verbe de la guerre.
Une forme solo épurée portant une parole âpre, aiguisée, sans faux-semblants,
et à la fois empreinte d’une douceur
“accordée à la nécessité simple de vivre”.
« j’aime que la pierre roule dans la rivière
et que cela fasse un bruit de clarinette
et l’on tue ici »
texte édité aux Solitaires Intempestifs