lecture du poème dramatique de Jean-Pierre Siméon, interprétée par Sophie Hoarau
lors du festival Les Possible(s)
> poésies et arts dans les Monts d’Arrée
initié par les éditions isabelle sauvage
et la librairie-café L’Autre Rive
samedi 15 avril 2017 à 17h30
> tout public (dès 16 ans)
Un plaidoyer sensible du verbe de la beauté
contre le verbe de la guerre.
Une forme solo épurée portant une parole âpre, aiguisée, sans faux-semblants,
et à la fois empreinte d’une douceur
“accordée à la nécessité simple de vivre”.
« j’aime que la pierre roule dans la rivière
et que cela fasse un bruit de clarinette
et l’on tue ici »
texte édité aux Solitaires Intempestifs
La suite de cette soirée
« réveiller les possibles
dire les désastres les impossibles »
proposait trois autres lectures :
> Aucun de nous n’en reviendra de Charlotte Delbo, extraits lus par Sophie Hoarau
> Et qui hante de Brigitte Mouchel, par l’auteure
> Inventaire, un souffle de Julien Simon, par l’auteur et Sandrine Jacquemont