première lecture publique par Sophie Hoarau
du poème dramatique de Jean-Pierre Siméon
pour le rendez-vous annuel primeurs de La Quincaille à Poullaouen (Finistère)
vendredi 1er mai 2015 à 18h30 > tout public (dès 13 ans)
Un plaidoyer sensible du verbe de la beauté contre le verbe de la guerre.
Une forme solo épurée portant une parole âpre, aiguisée, sans faux-semblants,
et à la fois empreinte d’une douceur
“accordée à la nécessité simple de vivre”.
« j’aime que la pierre roule dans la rivière
et que cela fasse un bruit de clarinette
et l’on tue ici »
texte édité aux Solitaires Intempestifs