poème dramatique de Jean-Pierre Siméon
mis en scène et interprété par Sophie Hoarau
sous le regard de Camille Kerdellant
mis en lumière par Matthieu Canas
et en images par Éric Legret
répétitions « à la maison » quincaille
du 30 septembre au 5 octobre 2019
Un plaidoyer sensible du verbe de la beauté
contre le verbe de la guerre.
Une forme solo épurée portant une parole âpre, aiguisée, sans faux-semblants,
et à la fois empreinte d’une douceur
“accordée à la nécessité simple de vivre”.
« j’aime que la pierre roule dans la rivière
et que cela fasse un bruit de clarinette
et l’on tue ici »
texte édité aux Solitaires Intempestifs